Art public interieur

Oeuvres rétroéclairées, Lyon, France ©
« Depuis 30 ans, Guillaume Bottazzi, pionnier du courant neuro-esthétique a signé près de 100 œuvres dans des espaces publics. »
Journal Les Echos, mai 2021
Emaux, Grand Paris ©
« La pratique de Guillaume Bottazzi illustre l’utilisation de courbures et l’expression d’une beauté lisse, sans bords ni angles vifs. Son travail suscite le plaisir automatiquement, probablement inconsciemment, et attire l’œil.»
Ichtus Magazine, juillet 2022
Emaux, Marseille 6ème, France ©
« Deux nouvelles œuvres monumentales du peintre Guillaume Bottazzi s’inscrivent au patrimoine de Marseille. Pour le plaisir des yeux, ces deux œuvres poétiques seront visibles de tous les passants. Les tonalités fuchsia et rose renoncule nous emmènent sinueusement dans un univers délicieusement irréel. Elles créent un espace onirique, enchanteur, qui évolue en fonction de notre imaginaire. Ces créations sont une ode à la joie de vivre. Elles sont réalisées avec des émaux, un matériau naturel composé de minéraux réduits en poudre. »
Magazine Muuuz, juillet 2022

Emaux, Grand Paris ©
« Depuis 30 ans, le très prolifique Guillaume Bottazzi parcourt le monde pour y disséminer des œuvres in situ. Affectionnant l’émail et le tissu, c’est un ambassadeur de l’art environnemental. »
Journal Le Monde, septembre 2020

Huile sur toile, Grand Paris ©
« Le célèbre artiste français Guillaume Bottazzi signe sa 100e œuvre dans l’espace public avec un tableau qui intègre le hall d’accueil cathédrale de la résidence L’Archipel à Alfortville. […] Avec cette 100e œuvre intronisée dans l’espace public, Bottazzi signe une création non seulement esthétique mais aux vertus thérapeutiques reconnues, qui raviront les visiteurs ! »
Magazine Muuuz, mai 2022

Emaux, Bruxelles ©
« Avec cette installation signée Guillaume Bottazzi, les habitants de la résidence seront immergés dans « un univers poétique et enchanteur, une ode à la joie de vivre. »»
Immoweek, juillet 2022

Emaux, Mandelieu, Côte d’Azur ©
« Guillaume Bottazzi a pour habitude de créer des œuvres dans des espaces publics. Il appartient à la mouvance art environnemental, un art dont le procédé lie directement l’artiste à l’environnement. »
Monaco Hebdo, septembre 2021

Emaux, Paris ©
« L’artiste plasticien et peintre français Guillaume Bottazzi est connu pour ses œuvres marquantes, douces et colorées, qu’il intègre dans les espaces publics, pour des musées et des collectionneurs privés. »
Magazine Robb Report, avril 2019

Emaux, Grand Paris ©
« Pour Guillaume Bottazzi, la dimension esthétique est toujours présente dans ses œuvres in situ qu’il ne conçoit ni comme provoquantes ni comme fondues dans l’espace. »
Tendances Magazine, décembre 2014

Emaux, Grand Paris ©
« Pour l’artiste, qui réalise des compositions abstraites aux couleurs chaudes une œuvre n’est jamais terminée et continue à se réinventer dans le temps. Ses formes oblongues en quête d’unité font parfois référence à des corpuscules cellulaires se liquéfiant et flottant dans l’espace. Comme toujours l’interprétation sera à l’avenant […]. L’artiste se tient volontiers à l’écart de toute tentative de réappropriation de ces signes en invitant le spectateur à s’immerger dans son œuvre. »
Flux News, magazine trimestriel d’actualité d’art contemporain, janvier / février / mars 2013

Tableau in situ, peinture sur tissu, Londres ©
« Après une étude neurologique menée en 2016, L’art des courbes dans le monde réel, un regard psychologique sur l’art de Guillaume Bottazzi, par Helmut Leder et Marcos Nadal, on nous affirme que l’art a un effet sur notre cerveau. Les œuvres de Guillaume Bottazzi sont la preuve de cette étude. »
Magazine Résidences Décorations, janvier 2019

Oeuvres rétroéclairées et tableau, Bruxelles ©
« Conçues pour favoriser le bien-être au quotidien, les créations lumineuses de Guillaume Bottazzi s’inspirent de l’approche zen de la vie à la japonaise. »
Magazine Belles Demeures, février 2019

Oeuvres rétroéclairées, Bruxelles ©
« Ces créations lumineuses de Guillaume Bottazzi servent une vision élégante et poétique, elles nous donnent un espace pour respirer et pour se relier à notre énergie. »
The Cheshire Magazine, février 2019

Emaux, Grand Paris ©
« L’art acteur du développement durable – Vivre mieux, vivre ensemble et donner un accès à la culture à chacun à travers l’art contemporain, tel est le projet confié à l’artiste peintre Guillaume Bottazzi. »
Magazine Habitat Naturel, juin 2012

Huile sur toile de lin brut, Paris, France ©
« Cette huile sur toile de lin brut nous induit à voyager dans un univers sobre et irréel. Ce tableau enchante l’habitat, nourrit le passant en le faisant rêver. Il crée un espace poétique, enchanteur, qui évolue en fonction de notre imaginaire. »
Prestige International Magazine, été 2021

Peintures sur tissus, Emilia Romagna, Italie ©
« La pénétration et l’impact des créations de Bottazzi vont au-delà du volume évoqué par la tridimensionnalité. Les interventions sont mises en place dans le cadre de l’environnement, un environnement que les visiteurs s’approprient d’un nouveau point de vue lorsqu’ils le voient revisité par l’artiste. »
Magazine Arte Al Limite, juillet / août 2017

Peinture murale, Marseille Prado, Provence-Alpes Côte d’Azur ©
« Lorsqu’on les approche, on est frappé d’abord par les formes volantes, cercles et lignes courbes, volutes et circulations, qui composent ces peintures murales. Elles flottent dans l’espace avec une légèreté que la densité des masses pourtant ne laissaient pas prévoir. Elles instaurent une atmosphère inédite. »
Revue Urbanisme, octobre 2009

Installation in situ, Sofitel, Bruxelles ©
« Ce qui démarque Guillaume Bottazzi c’est qu’il compose des abstractions. Ce dépassement du décoratif a presque une vocation pédagogique. L’œuvre, ainsi sans suggestion narrative, suscite des questions autour de l’art. »
Magazine marie-claire, octobre 2009

Emaux, Lyon, France ©
« Une nouvelle œuvre monumentale de Guillaume Bottazzi à Lyon, à découvrir pendant les Journées Européennes du Patrimoine. L’artiste traduit ses dessins à l’aide d’émaux déposés sur du verre. Les tons turquoise, bleu et vert émeraude font référence à la Saône et aux courbes de l’architecture atypique du bâtiment. C’est une œuvre poétique et sa dimension immerge le passant qui se devine sans se voir dans un univers irréel et aquatique. »
Journal Le Parisien, septembre 2020

Oeuvres rétroéclairées, Lyon, France ©
« Les œuvres de Guillaume Bottazzi nous invitent à abandonner nos inhibitions et à oser rêver […]. »
Magazine Widewalls, mai 2016

Emaux, Grand Paris ©
« Les outils immersifs fournis par l’art abstrait permettent à Bottazzi de créer des formes éthérées qui, comme si elles coulaient, sont floues et se fondent avec la surface. Le support fait partie intégrante de l’oeuvre et dégage l’idée de l’infini. »
Magazine Arte Al Limite, juillet / août 2017

Emaux et lumières ©
« Les œuvres de Guillaume Bottazzi créent des espaces oniriques, un espace onirique dans lequel nous vivons. L’espace n’existe pas en soi mais est une construction mentale. Ces œuvres au-delà de la réalité modifient notre environnement et nous font rêver.»
TL Magazine, mai 2021

Emaux, Siège social d’Orange, France ©
« Cette œuvre commandée à l’artiste Guillaume Bottazzi pour le siège d’Orange à Villeneuve d’Ascq est installée dans le hall secondaire du bâtiment Orange Grand Stade. »
Ministère de la Culture, juillet 2020

Emaux, Shirokanedai, Tokyo ©
« Les travaux de Guillaume Bottazzi invitent l’observateur à recréer l’œuvre, non seulement par notre interprétation des signes mais aussi par le modelage de l’espace, ou plutôt des espaces. »
Magazine Azart, mars 2010

Huile sur toile de lin brut, 3 m de haut, Marseille, Côte d’Azur ©
« Les huiles sur toiles de Guillaume Bottazzi sont réconfortantes […] il y a de la chaleur, de la douceur et d’infinies subtilités dans les nuances, les dégradés, les estompés. »
Magazine Maison & Jardins actuels, décembre 2012

Oeuvres rétroéclairées ©
« Ces créations lumineuses nous donnent de l’espace pour respirer et incarnent le lien de l’artiste avec le Japon où il travaille depuis 2004. »
Magazine DARC, janvier 2019

Peinture sur papier, Hokkaido, Japon ©
« Les peintures de Bottazzi combinent des formes arrondies et des couleurs pastel apaisantes destinées à faire un appel direct aux sens. »
Magazine The Bulletin, septembre 2016

Oeuvres rétroéclairées, Lyon, France ©
« Devant ce genre de peinture, la forme parlant d’elle-même, le spectateur ou l’habitant peuvent se laisser aller à leurs exaltations et à leurs rêves. »
Revue Urbanisme, octobre 2009
Guillaume Bottazzi et la joie d’habiter
Guillaume Bottazzi – 15 novembre 2020
Les œuvres in situ de Guillaume Bottazzi révèlent de nouveaux paradigmes environnementaux
Pourquoi des espaces oniriques dans nos lieux de vie ?
Les œuvres in situ de Guillaume Bottazzi modifient notre environnement et font émerger de nouveaux paradigmes architecturaux.
Pour Gaston Bachelard, l’imagination est fondatrice de la raison et de la perception : c’est la raison pour laquelle l’imagination prime dans la création des espaces que nous occupons, puisque nous habitons avant tout des espaces oniriques. Notre imaginaire conditionne nos perceptions et nos pensées.
Ces espaces poétiques ne sont pas des lieux qui existent en soi, ils ne sont pas une enveloppe dans laquelle on vient s’enterrer ni un contenant objectif d’éléments. Ces espaces poétiques nourrissent notre créativité et stimulent notre construction.
Ces œuvres in situ créent des espaces dynamiques, des espaces habités par le vivant, toujours en lien avec le dehors et le dedans. Ces créations créent des espaces qui transcendent les lignes et l’espace utilitaire.
Des espaces imaginaires
C’est le concret et la matière qui vont révéler nos rêves et l’esprit des lieux. Ils vont stimuler un imaginaire personnel ; et, pour pouvoir rêver, nous ne devons pas rationaliser.
Par exemple, si nous regardons le plan d’une construction, nous ne rêvons pas ; mais si nous réinventons ce que nous voyons, nous nous approprions les lieux. Pour cela, nous devons y trouver de l’inattendu afin d’inscrire les espaces que nous fréquentons dans le registre de notre imaginaire.
Tout paysage est une expérience liée à notre imaginaire, et cet imaginaire n’est pas une rêverie passive, mais il se forme dans l’action – comme un enfant cheminant sur une ligne, en se rendant à l’école, peut imaginer qu’il marche à côté d’un grand précipice.
Les espaces fréquentés nourrissent le passant en lui apportant une forme d’irréalité et le font rêver.
Créer des espaces évolutifs
La tridimensionnalité des espaces statiques est une illusion.
La nouvelle physique et la physique quantique induisent l’idée que tout espace est évolutif.
La nouvelle physique remet en question la tridimensionnalité des espaces statiques ; c’est le cas de «la théorie de la relativité» où l’espace statique n’existe pas, mais c’est aussi le cas de la physique quantique pour laquelle les choses ne sont plus localisables.
La nouvelle physique a mis au jour une nouvelle dynamique de l’espace, où l’espace onirique est la construction d’un espace dynamique qui apporte la joie d’habiter un lieu de vie.
C’est un espace qui se transforme en permanence, un espace ouvert qui n’est jamais fermé, un espace qui évolue et qui surprend.