Art public exterieur
Sculpture, émaux, hauteur 3 mètres, Croix ©
« Depuis 30 ans, le très prolifique Guillaume Bottazzi parcourt le monde pour y disséminer des œuvres in situ. C’est un ambassadeur de l’art environnemental. »
Journal Le Monde, septembre 2020

Emaux, Camargue, France ©
« Artiste français reconnu comme l’un des pionniers de la neuro-esthétique, Guillaume Bottazzi a signé – sur les trente dernières années – plus de 100 œuvres d’art dans des espaces publics. Ses œuvres d’art environnementales, à l’intérieur comme à l’extérieur, relèvent d’une réflexion globale intégrant différents paramètres. »
Journal La Libre Belgique, janvier 2023

Céramique, Grand Paris, France ©
« Les œuvres de Guillaume Bottazzi créent des espaces oniriques, un espace onirique dans lequel nous vivons. L’espace n’existe pas en soi mais est une construction mentale. Ces œuvres au-delà de la réalité modifient notre environnement et nous font rêver.»
TL Magazine, mai 2021

Céramique, Bruxelles ©
« Peu d’artistes peuvent se targuer de réaliser des œuvres qui nous font du bien avec des preuves scientifiques à l’appui. C’est le cas de Guillaume Bottazzi, dont les œuvres ont fait l’objet d’une étude scientifique en psychologie cognitive intitulée « L’art des courbes dans le monde réel, un regard psychologique sur les œuvres de Guillaume Bottazzi », qui prouve que les créations du peintre font du bien au regardeur. Elles réduisent son anxiété et produisent de la dopamine.»
La quotidienne, juillet 2022
Peinture de 900 m², Musée International d’Art Miyanomori, Sapporo, Hokkaido, Japon ©
« Le Miyanomori Art Museum à Sapporo a décidé de donner à l’artiste français Guillaume Bottazzi carte blanche pour orner ses 900 m² de façades. L’institution japonaise ne pouvait faire choix plus adapté à ses vues : depuis les années 1990, cet artiste décline sur le mur ou la toile une peinture fraîche et colorée, qui lui a valu nombre d’expositions et de commandes publiques, en France et au Japon. »
Magazine L’Oeil & Le Journal des Arts, décembre 2011
Peinture de 900 m², Musée International d’Art Miyanomori, Sapporo, Hokkaido, Japon ©
« L’artiste français vient de terminer la plus grande peinture murale du Japon sur le Miyanomori Art Museum, à Sapporo. Cette réalisation de 900 m² a été initiée dans le cadre de l’événement « Hope 2011 », qui se veut un hommage aux victimes du séisme et du tsunami de mars 2011. »
Flux News, magazine trimestriel d’actualité d’art contemporain, janvier / février / mars 2013
Peinture de 900 m², Musée International d’Art Miyanomori, Sapporo, Hokkaido, Japon ©
« Guillaume Bottazzi, qui a séjourné au Japon à de nombreuses reprises, a été très affecté par l’impact terrible séisme et du tsunami qui ont dévasté le Japon en mars 2011. La décision de reconstruire le musée et de demander à un grand artiste européen de s’associer à ce message d’espoir qu’est cette renaissance du musée prouve que l’art contemporain peut stimuler le courage en montrant la voie de la reconstruction. »
Le courrier de l’Architecte, septembre 2011

Emaux, Zhengzhou, Chine ©
« Depuis 30 ans, Guillaume Bottazzi, pionnier du courant neuro-esthétique a signé près de 100 œuvres dans des espaces publics. »
Journal Les Echos, Mai 2021
Peinture de 216 m², Paris La Défense ©
« Le Business District parisien fait son show et avec une audace vertigineuse ! Au pied des gratte-ciels de verre et d’acier, le parvis est devenu une formidable galerie d’art contemporain. Réalisée en trois mois, la fresque monumentale que l’artiste peintre Guillaume Bottazzi a réalisée, est ainsi la 70ème œuvre de ce qui est le plus grand ensemble d’art moderne et contemporain à ciel ouvert de France. »
Arc-en-Ciel, Air Caraïbes, inflight magazine, juillet / août 2015
Peinture de 216 m², Paris La Défense ©
« Le polyptique de Guillaume Bottazzi prend définitivement place dans le parcours artistique de La Défense, dont il devient la 70e œuvre d’art. La semaine de La Défense est l’occasion de découvrir l’œuvre de Guillaume Bottazzi, qui a réalisé […] une peinture de plus de 200 m², sous forme de six tableaux de six mètres par six mètres. Ils complètent la collection déjà riche du quartier d’affaires, de Alexander Calder à Richard Serra en passant par Joan Miró et César. »
Le Journal du Grand Paris, septembre 2015
Peinture de 216 m², Paris La Défense ©
« Dans l’univers de la ville, les œuvres d’art dans l’espace public adoucissent la confrontation à un urbanisme parfois perçu comme déshumanisé : les œuvres de Guillaume Bottazzi contribuent au bien-être des habitants en introduisant de l’étrangeté dans leur quotidien, de la fantaisie dans la rigueur. »
Arc-en-Ciel, Air Caraïbes, inflight magazine, juillet / août 2015

Oeuvre réalisée sur l’un des premiers gratte-ciel de France ©
« Jeux urbanistiques – Guillaume Bottazzi, peintre contemporain a créé deux œuvres géantes pour habiller l’entrée d’un gratte-ciel, offrant aux verticales rigides de l’architecture deux étranges formes, floues, mouvantes et colorées. Ce plasticien, connu jusqu’à New York et Tokyo, crée un monde ludique de rondeurs flottantes et acidulées qui offre au béton une échappée belle en apesanteur. Un clin d’œil à l’austérité de bien des villes. »
Magazine Art&Décoration, janvier 2010
Tableau de 16 m de haut, Quartier Européen, Bruxelles ©
« Guillaume Bottazzi ne se contente pas d’arrondir les angles des bâtiments qu’il recouvre ; ses réalisations font appel à une technique de glacis transposée à grande échelle, pour obtenir des effets de transparences, jeux d’ombres et de lumières dans lesquels le regard se perd. »
Magazine L’œil & Le Journal des Arts, décembre 2016
Tableau de 16 m de haut, Quartier Européen, Bruxelles ©
« Directement en lien avec les projets de redynamisation du quartier européen à Bruxelles, cette œuvre monumentale vise à améliorer la qualité de vie et le bien-être des personnes qui fréquentent le lieu. »
Magazine madame FIGARO, mai 2017
Peinture dans le quartier historique de Martigues, Côte d’Azur ©
« Ce qui démarque Guillaume Bottazzi c’est qu’il compose des abstractions. Ses réalisations ne sont pas de simples peintures murales, mais une intervention artistique. En fait, on s’aperçoit que les personnes, finalement, adhèrent très bien à l’art contemporain. Ce dépassement du décoratif a presque une vocation pédagogique. L’œuvre, ainsi sans suggestion narrative, suscite des questions autour de l’art. »
Magazine marie-claire, octobre 2009

Commande du Ministère de la culture, peinture de 13m x 10m, France ©
« Le plasticien Guillaume Bottazzi estime que « l’art en milieu urbain permet d’agir de manière globale sur le tissu social. Ses œuvres, des peintures abstraites réalisées sur des lieux spécifiques, ont fait l’objet d’expositions dans le monde entier. »
Magazine La Gazette des Communes, mai 2010
Oeuvre de 100 m², Roppongi Hills, Tokyo ©
« Pour l’artiste, qui réalise des compositions abstraites aux couleurs chaudes une œuvre n’est jamais terminée et continue à se réinventer dans le temps. Ses formes oblongues en quête d’unité font parfois référence à des corpuscules cellulaires se liquéfiant et flottant dans l’espace. Comme toujours l’interprétation sera à l’avenant […]. L’artiste se tient volontiers à l’écart de toute tentative de réappropriation de ces signes en invitant le spectateur à s’immerger dans son œuvre. »
Flux News, magazine trimestriel d’actualité d’art contemporain, janvier / février / mars 2013
Guillaume Bottazzi et la joie d’habiter
Guillaume Bottazzi – 15 novembre 2020
Les œuvres in situ de Guillaume Bottazzi révèlent de nouveaux paradigmes environnementaux
Pourquoi des espaces oniriques dans nos lieux de vie ?
Les œuvres in situ de Guillaume Bottazzi modifient notre environnement et font émerger de nouveaux paradigmes architecturaux.
Pour Gaston Bachelard, l’imagination est fondatrice de la raison et de la perception : c’est la raison pour laquelle l’imagination prime dans la création des espaces que nous occupons, puisque nous habitons avant tout des espaces oniriques. Notre imaginaire conditionne nos perceptions et nos pensées.
Ces espaces poétiques ne sont pas des lieux qui existent en soi, ils ne sont pas une enveloppe dans laquelle on vient s’enterrer ni un contenant objectif d’éléments. Ces espaces poétiques nourrissent notre créativité et stimulent notre construction.
Ces œuvres in situ créent des espaces dynamiques, des espaces habités par le vivant, toujours en lien avec le dehors et le dedans. Ces créations créent des espaces qui transcendent les lignes et l’espace utilitaire.
Des espaces imaginaires
C’est le concret et la matière qui vont révéler nos rêves et l’esprit des lieux. Ils vont stimuler un imaginaire personnel ; et, pour pouvoir rêver, nous ne devons pas rationaliser.
Par exemple, si nous regardons le plan d’une construction, nous ne rêvons pas ; mais si nous réinventons ce que nous voyons, nous nous approprions les lieux. Pour cela, nous devons y trouver de l’inattendu afin d’inscrire les espaces que nous fréquentons dans le registre de notre imaginaire.
Tout paysage est une expérience liée à notre imaginaire, et cet imaginaire n’est pas une rêverie passive, mais il se forme dans l’action – comme un enfant cheminant sur une ligne, en se rendant à l’école, peut imaginer qu’il marche à côté d’un grand précipice.
Les espaces fréquentés nourrissent le passant en lui apportant une forme d’irréalité et le font rêver.
Créer des espaces évolutifs
La tridimensionnalité des espaces statiques est une illusion.
La nouvelle physique et la physique quantique induisent l’idée que tout espace est évolutif.
La nouvelle physique remet en question la tridimensionnalité des espaces statiques ; c’est le cas de «la théorie de la relativité» où l’espace statique n’existe pas, mais c’est aussi le cas de la physique quantique pour laquelle les choses ne sont plus localisables.
La nouvelle physique a mis au jour une nouvelle dynamique de l’espace, où l’espace onirique est la construction d’un espace dynamique qui apporte la joie d’habiter un lieu de vie.
C’est un espace qui se transforme en permanence, un espace ouvert qui n’est jamais fermé, un espace qui évolue et qui surprend.