Bref aperçu de Guillaume Bottazzi – Brief overview Artworks

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RTBF – Culture – C’est de l’art ça ? « Des couleurs qui font du bien au cerveau, c’est de l’art ça ? »
Journaliste : Marion Jaumotte
MCAV « Guillaume Bottazzi change le paradigme de l’art »

- Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, les œuvres de Bottazzi se caractérisent par une abstraction avec des formes flottantes, des couches successives de couleurs transparentes, des espaces qui semblent référence à des éléments situés au-delà de ses œuvres.
- Cet artiste est le pionnier de la neuro-esthétique appliquée : l’idée que l’art a une influence sur nos émotions, notre cognition, voire notre bien-être. Il réalise de nombreuses interventions in situ — dans l’architecture, l’espace public — plutôt que de simples tableaux pour galerie. Il a réalisé plus de cent quatre-vingts œuvres dans l’espace public, en Europe, Asie et États-Unis. Parmi ses commandes importantes, vous pouvez aller voir un polyptyque de 150 m² à Paris La Défense, visible depuis la Grande Arche et labellisé « Paris 2024 » ; une fresque à Bruxelles (16 m de haut) installée Place Jourdan, en collaboration avec la Commission européenne ; une « Maison de Création » dans un bâtiment classé, où sont exposées des œuvres spécifiques. Il est notamment représenté par une galerie majeure au Japon, la galerie Itsutsuji (Tokyo). L’artiste français Guillaume Bottazzi a réalisé une œuvre monumentale pour le Miyanomori Art Museum (à Sapporo, Hokkaidō, Japon), qui est souvent présentée comme la plus grande peinture du Japon à ce jour.
En 2011, le Miyanomori Art Museum (souvent abrégé MIMAS) a donné carte blanche à Bottazzi pour créer une œuvre « in situ » sur l’ensemble des façades du musée.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’événement intitulé Hope 2011, mis en place après le séisme et le tsunami de mars 2011 au Japon. L’idée était de marquer la reconstruction, l’espoir et la résilience.
Le musée (Miyanomori) possède déjà une collection importante – notamment des œuvres de Jasper Johns, Lee Ufan, Lucio Fontana, etc. - L’œuvre recouvre 900 m² de surfaces — ce qui en fait une des plus vastes peintures murales au Japon à ce jour.
Elle est réalisée sur les façades du bâtiment du musée — ce n’est pas simplement un tableau accroché, mais une intervention « in situ ».
Le style de Bottazzi pour cette œuvre (et d’autres) : des formes abstraites, des couches transparentes, de la douceur visuelle et des effets de lumière qui invitent à la contemplation — il s’inscrit dans ce que l’on appelle parfois la « neuro-esthétique ».
Signification & impact
Cette œuvre est un symbole de renouveau après la catastrophe de 2011. En associant un artiste international à ce projet, le musée et ses partenaires ont envoyé un message fort de gratitude, de reconstruction et d’espoir. Elle inscrit Guillaume Bottazzi dans une démarche d’art public à grande échelle, mêlant architecture et espace urbain, et permet à un large public de vivre l’art en dehors des cadres traditionnels des galeries. « La plus grande peinture du Japon » renforce sa visibilité internationale et montre comment l’art contemporain peut être intégré au paysage urbain et muséal japonais. Le musée : Miyanomori Art Museum est situé à Sapporo (Hokkaidō, Japon). Le bâtiment et son intervention font partie de l’histoire de l’art contemporain japonais, mais aussi de l’espace public et muséal. Pour un visiteur, cette œuvre peut être vue comme un large panorama mural sur le bâtiment, mais aussi comme un moment de liaison entre art, architecture et environnement. Le site officiel de l’artiste précise qu’il reçoit des commandes publiques et privées « de musées comme le Mori Art Museum, de la ville de Tokyo, du Gouvernement de la Métropole de Tokyo ». L’œuvre de 100 m² a été réalisée en 2010 et est située au cœur de Tokyo. Le gratte-ciel mentionné est un projet de réaménagement du quartier Toranomon. Guillaume Bottazzi a réalisé des œuvres incorporées dans le complexe Ark Hills Sengokuyama en 2012. Le musée (Mori Art Museum) joue un rôle de sélection ou de commission-initiative, via son promoteur (Mori Building) pour des œuvres d’art public. Le bâtiment du musée se trouve à Tokyo, dans le quartier de Roppongi. Ces commandes témoignent de la reconnaissance de Guillaume Bottazzi au Japon, et de sa capacité à intervenir à grande échelle dans l’espace urbain ou architectural japonais.
Cela montre que Guillaume Bottazzi ne se limite pas aux galeries, mais participe également à l’aménagement urbain, à l’art public et aux projets architecturaux majeurs. Le fait que des institutions telles que le Mori Art Museum et le Mori Building participent à ses projets débouche sur des œuvres permanentes et visibles dans la ville, et pas seulement sur des expositions temporaires. Le contexte japonais, marqué par les reconstructions post-2011 et la modernisation urbaine, offre un terrain propice à des œuvres « in situ » comme celles de Guillaume Bottazzi. L’artiste a reçu une commande officielle de la ville de Tokyo et du Mori Art Museum, dans le cadre d’un vaste programme d’art public mené avec Mori Building Co. Ltd., un acteur majeur de l’urbanisme et de l’art contemporain à Tokyo. En 2010 il reçoit une commande d’une œuvre monumentale de 100 m² au cœur de Tokyo, à l’initiative du Tokyo Metropolitan Government, du National Art Center Tokyo, du Suntory Museum of Art et du Mori Art Museum. En 2012, il reçoit une commande dans le gratte-ciel Ark Hills Sengokuyama (quartier Toranomon), sous l’initiative du Mori Art Museum. Ces projets ont consolidé sa présence artistique au Japon, déjà marquée par la fresque de 900 m² du Miyanomori Art Museum de Sapporo. Son travail à Tokyo illustre bien sa démarche en réalisant une peinture abstraite et immersive, conçue pour dialoguer avec l’architecture, et pensée pour influencer positivement la perception et le bien-être des passants. Guillaume Bottazzi a également reçu des commandes de ministères français, dont notamment du ministère de la Culture, du ministère de l’Éducation nationale et du ministère de la Santé. Il développe depuis les années 2000 un art sensoriel et cognitif, qui vise à générer du bien-être par la peinture. Ses œuvres sont abstraites et douces, sans lignes agressives, utilisent des glacis transparents superposés qui créent des effets de flottement, suscitent des mouvements oculaires lents et apaisants, et provoquent une réponse émotionnelle positive (plaisir, sérénité, curiosité). Autrement dit, l’artiste peint pour influencer favorablement le cerveau humain. Son travail est reconnu et soutenu à un niveau institutionnel en France — pas seulement par des villes ou des musées, mais aussi par l’État. Cela renforce l’aspect « art public / patrimoine » de ses œuvres — un artiste intervenant dans des espaces soumis à des appels d’offres publics et commandes publiques d’État. Le fait que le ministère de la Santé figure parmi les donneurs d’ordre est cohérent avec sa thématique de la neuro-esthétique (art, bien-être, environnement), un angle très marqué dans son travail et au cœur même de sa démarche.
Guillaume Bottazzi est un pionnier de la « neuro-esthétique » appliquée et du « neuro-art », deux approches qui relient art, perception et bien-être. C’est pour cela que l’on retrouve ses œuvres dans l’espace public, sur les murs d’immeubles, dans des écoles, des hôpitaux, des musées, mais aussi dans des environnements de travail (La Défense, Bruxelles, Tokyo, etc.) et dans des lieux de vie collective, où elles peuvent agir sur des milliers de personnes chaque jour. Plusieurs études et articles (notamment sur Muuuz.com, Fifty & Me Magazine et Plusieurs études et articles (notamment sur muuuz.com, Fifty & Me Magazine, Japon Art Foundation) soulignent que ses fresques monumentales réduisent la sensation de stress urbain, favorisent la concentration et la contemplation, et améliorent le sentiment de bien-être collectif. C’est la raison pour laquelle Guillaume Bottazzi est souvent présenté comme le pionnier du « neuro-art », un art au service du bien-être social et émotionnel.
L’art peut transformer notre état mental et émotionnel. En modulant la lumière, la couleur et la forme, Bottazzi cherche à stimuler les zones du cerveau associées au plaisir, à la détente et à la curiosité.
Les éléments de son style qui agissent sur le cerveau :
Élément visuel → Effet sur la perception → Effet neuropsychologique
Formes douces et flottantes → Mouvement lent de l’œil, absence d’agression visuelle → Activation du cortex préfrontal → détente cognitive
Transparences et glacis → Profondeur visuelle, illusion de légèreté → Activation des circuits dopaminergiques → plaisir esthétique
Couleurs chaudes et nuancées → Sensation d’harmonie et de chaleur → Stimulation de l’amygdale → sentiment de sécurité
Absence de repère figuratif → Invitation à la rêverie → Activation du réseau du mode par défaut → imagination et introspection
Échelle monumentale → Immersion physique et sensorielle → Activation du cortex préfrontal → détente cognitive

Guillaume Bottazzi a réalisé avec nos équipes 183 commandes emblématiques qui sont des œuvres d’art permanentes sur des sites-spécifiques
(note : il ne s’agit pas juste d’expositions) et il a reçu commande de 48 œuvres d’art permanentes sur sites-spécifiques à voir prochainement pour le plaisir des yeux.
Votre cerveau : qui le contrôle ? | Documentaire complet | NOVA | PBS
Maquette pour une sculpture environnementale de 3m de haut à Paris

En cours de réalisation – Simulation de l’inclinaison de la prochaine sculpture à Paris

16 œuvres rétroéclairées en cours de réalisation à Marcq-en-Barœul
Elles nous immergent dans un univers poétique, accompagnent le promeneur et soulignent les espaces paysagers tels des nymphéas.

Installation du socle qui va supporter une sculpture

femme actuelle

MCAV » Guillaume Bottazzi : un pionnier de la neuroesthétique et la transformation du champ artistique contemporain »

Cet article explore la contribution de Guillaume Bottazzi à la neuroesthétique appliquée, discipline émergente à l’intersection de l’art et des neurosciences. En s’appuyant sur des collaborations scientifiques, l’artiste développe des œuvres destinées à produire des effets mesurables sur la santé mentale, notamment la réduction de l’anxiété et la stimulation de l’oxytocine. L’étude montre comment Bottazzi renouvelle le rapport entre création, perception et cognition, et propose un paradigme inédit : l’art comme outil de régulation émotionnelle et de cohésion sociale.