Maison de Création
Guillaume Bottazzi a créé sa propre Maison de Création, semblable à une Maison de Haute Couture, dans un immeuble de style Beaux-Arts, signé Paul Picquet. Elle est située à deux pas de la place Brugmann, à Bruxelles, au 98 rue Berkendael, dans le quartier Molière. Ce bâtiment est répertorié au Patrimoine de la ville. Habillé d’œuvres inédites, il a pour vocation de participer à l’attractivité de la ville et forme une triangulaire avec la Maison Hannon et le musée Horta. C’est un quartier habité d’architectures de style Beaux-Arts, Art nouveau et Art déco, une invitation à la promenade pour les amateurs d’architectures.
Le créateur collabore avec des équipes de poseurs, artisans, verriers, électriciens et techniciens dont la réputation n’est plus à faire en matière d’excellence. Guillaume Bottazzi a plus d’une centaine d’œuvres in-situ à son actif. Ses œuvres rétro-éclairées et ses œuvres sur sites spécifiques, qui connaissent un grand succès, sont notamment vendues à des acteurs du CAC 40 et à de nombreux architectes de renom.
« Depuis 30 ans, le très prolifique Guillaume Bottazzi parcourt le monde pour y disséminer des œuvres in situ. Affectionnant l’émail et le tissu, c’est un ambassadeur de l’art environnemental. »
Journal Le Monde, septembre 2020
« Cette huile sur toile de lin brut nous induit à voyager dans un univers sobre et irréel. Ce tableau enchante l’habitat, nourrit le passant en le faisant rêver. Il crée un espace poétique, enchanteur, qui évolue en fonction de notre imaginaire. »
Magazine TL, été 2021
«Les œuvres lumineuses de Guillaume Bottazzi pour remplacer les antidépresseurs ?
Direction une bâtisse de style Beaux-Arts répertoriée au patrimoine de la ville de Bruxelles, à un jet de pierre de la place Brugmann (au 98 de la rue Berkendael, Ixelles). C’est dans cet immeuble que, trois jours durant, le grand public pourra découvrir les dernières créations permanentes de Guillaume Bottazzi. L’artiste est bien connu. Avec ses fresques monumentales qu’il sème aux quatre coins du monde, il s’est imposé comme l’une des figures incontournables de l’art public. Et pour cause : depuis plus de 30 ans, l’homme multiplie les collaborations avec de nombreux architectes de renom, partageant son esthétique colorée sur des murs publics – notamment de musées et de ministères –, mais aussi en répondant à des commandes privées d’envergure. En 2023, quarante de ses œuvres d’art environnementales et permanentes, disséminées dans toute la France, ont participé aux Journées européennes du Patrimoine.
La puissance sensorielle d’une œuvre
Si l’on sait depuis longtemps que les arts enrichissent notre vie, ils peuvent aussi jouer un rôle important sur notre santé mentale. L’Organisation Mondiale de la Santé en faisait le constat officiel en 2019. Son effet le plus courant ? Diminuer considérablement le stress. Explorant depuis plus d’une décennie les liens intimes qui se tissent entre la neurologie et l’art dans nos espaces de vie, avec pour focale principale notre bien-être, Guillaume Bottazzi en est le premier convaincu : certaines œuvres d’art agissent comme un médicament, nous rendant plus heureux. Pionnier de la neuro-esthétique, l’artiste explique ces bienfaits exceptionnels par des erreurs que nous commettons dans notre environnement, notamment par l’utilisation de lumières utilisées quotidiennement, et qui auraient pour conséquences de ne pas permettre le repos de la pupille, d’abîmer la vue, de produire de l’anxiété et des troubles du sommeil.
S’il faudrait certainement plus qu’une visite – peut-être même toute une vie – pour s’en rendre véritablement compte, ces œuvres lumineuses auraient le pouvoir de renforcer notre capacité à nous sentir mieux : la contemplation attentive réduirait nos pulsations cardiaques, notre stress, notre anxiété et contribuerait à mettre de l’ordre dans nos idées. Pour Guillaume Bottazzi, qui étudie le sujet et l’expérimente au quotidien, les bienfaits ne sont pas à conjuguer au conditionnel. L’artiste en est convaincu : ses œuvres lumineuses ont le pouvoir d’apaiser et de nous renforcer, de nous mettre dans de bonnes dispositions en activant notamment des neurotransmetteurs, de la dopamine, qui nous envoient des récompenses appelées communément hormones du bonheur. Elles agissent contre la dépression en produisant de la sérotonine, une substance qui active des neurotransmetteurs que l’on trouve dans les antidépresseurs.
À propos de ses œuvres lumineuses qu’il considère comme thérapeutiques, l’artiste lui-même souligne : « J’ai depuis longtemps rêvé de peindre avec la lumière et la puissance sensorielle de mes œuvres poétiques a le pouvoir de faire rêver et de se sentir bien. Le matériau utilisé est l’émail, aussi utilisé pour la fabrication des bijoux ou des vitraux, une matière naturelle réduite en poudre et composée de différents minéraux. Les formes atypiques, avec des embases dessinées, créent des inclinaisons où se reflètent les éléments de la pièce. »
Seule certitude : les volumes, les couleurs et les modulations subtiles de ces caissons lumineux nous conduisent presque instantanément à l’apaisement… Mais pour combien de temps ?»
Journal La Libre Belgique, janvier 2023
« Approché par deux neuroscientifiques autrichiens voici plusieurs années, ceux-ci ont démontré l’influence des œuvres de Guillaume Bottazzi sur la réduction de l’anxiété et l’augmentation de la dopamine. »
Magazine Juliette et Victor, hiver 2022-2023
« Les créations poétiques de Guillaume Bottazzi nous invitent à une expérience de vie plus riche, à renforcer notre essence, à bâtir notre évolution en leur compagnie, au sein d’un univers féérique. […] Elles donnent naissance à des espaces poétiques et envoûtants, dont la métamorphose s’inscrit au gré de notre imaginaire. »
Magazine Muuuz, septembre 2023
« Ce pionnier de la neuro-esthétique s’efforce […] de créer des œuvres d’art lumineuses, destinées, en modifiant notre cerveau, à rendre heureux ceux qui les regardent. Guillaume Bottazzi, qui a déjà exposé sur des sites et dans des musées du monde entier, notamment dans une quarantaine de villes françaises, a posé récemment ses dernières créations permanentes dans un immeuble bruxellois classé. »
Magazine Soir Mag, avril 2024
France 24, mars 2024 - JT sciences - Une voie neuronale vers le bonheur
« Guillaume Bottazzi est un artiste visuel français, né en 1971, qui possède un atelier permanent à Bruxelles depuis 2012. Au cours des 30 dernières années, il a travaillé principalement en Europe, en Asie et aux États-Unis. Reconnu comme un pionnier du mouvement neuroesthétique, il a signé plus d’une centaine d’œuvres d’art pour des espaces publics. Son installation la plus récente est une collection permanente conçue pour un bâtiment de style Beaux-Arts classé au patrimoine de la ville de Bruxelles. Les nouvelles œuvres sont décrites par certains comme ayant « le pouvoir d’améliorer notre capacité à vivre mieux et à nous sentir bien ». Ces œuvres d’art lumineuses in situ réduisent notre rythme cardiaque, notre stress, notre anxiété et nous aident à mettre de l’ordre dans nos pensées. Elles ont le pouvoir de nous apaiser et de nous fortifier, de nous mettre de bonne humeur en activant des neurotransmetteurs tels que la dopamine, communément appelée « hormone du bonheur », qui nous envoie des récompenses. Ils contribuent à rendre le spectateur plus heureux, plus élégant et plus fort.
En 2019, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) a confirmé que l’art peut améliorer la santé mentale. Dix ans de recherche sur l’art et le cerveau par les neuroscientifiques Helmut Leder et Marcos Nadal de l’Université de Vienne en Autriche, ont montré que les œuvres réalisées par Bottazzi nous aident à nous sentir mieux et à être plus heureux. Ses œuvres modifient notre organisme, et l’implication de ces expériences sensorielles a un effet puissant qui influe sur notre biologie, notre façon de vivre, de sentir et d’entendre le monde qui nous entoure. […] « Je suis artiste depuis plus de 30 ans et je rêve de peindre avec la lumière depuis 15 ans. Mon aspiration onirique voit la magie dans ce matériau ». Depuis plus d’une décennie, ces systèmes d’éclairage offrent des solutions complètes et intégrées. Ces créations in situ s’adaptent non seulement aux espaces dans lesquels elles sont installées, mais aussi aux besoins des utilisateurs. Cette approche unificatrice réconcilie l’art, le design et l’architecture, une alliance perdue depuis le début du siècle dernier. […] Selon le prix Nobel de médecine Eric Kandel, ces créations lumineuses plongent le spectateur dans un univers irréel qui nous incite à prendre plus de distance avec ce qui nous entoure et favorise notre créativité. Et, selon Leder, elles réduisent notre anxiété et renforcent notre capacité à vivre. »
darc magazine, avril/mai 2024
« Une personne sur cinq souffrirait de problèmes de santé mentale. Tout ce qui peut nous rendre plus heureux est donc un atout majeur. Et si cette chose est également esthétique, c’est encore mieux. L’Organisation mondiale de la santé ayant confirmé que l’art peut améliorer la santé humaine, le peintre français Guillaume Bottazzi a consacré une grande partie de son travail à ce domaine. »
Magazine INTERIOR DESIGN, août 2024
« ‘L’art urbain s’amuse de la ville, il l’interroge, l’embellit, la dynamise, l’habille, [..] et permet d’entrer en résonance avec elle. Il en révèle d’âme ou lui en donne une, il assoit son identité. Sur le plan de la santé, il s’agit d’un vrai médicament, tant pour l’esprit que pour le corps’ explique Guillaume Bottazzi, artiste visuel installé à Bruxelles et qui vient d’y réaliser ses dernières créations permanentes, des œuvres conçues pour un immeuble de style Beaux-Arts répertorié au patrimoine de la ville de Bruxelles, à deux pas de la place Brugmann. »
Magazine marie claire, juin 2024
Ce film est une performance. Guillaume Bottazzi crée son tableau en direct du début jusqu’à son aboutissement.
« [..] les formes arrondies pourraient être préférées parce qu’elles semblent moins dangereuses, ou tout simplement parce qu’elles sont intrinsèquement attirantes. L’idée que la courbe soit une ligne primitive esthétique confirme les revendications des philosophes depuis le XVIIIe siècle. Burke par exemple, croit que la beauté est lisse, sans rebords ou angles fermés. À cet égard, le travail de Guillaume Bottazzi illustre parfaitement l’utilisation de ces dominantes de base qui suscitent automatiquement du plaisir, sans doute inconsciemment, et qui attirent l’œil. Comme beaucoup d’artistes, il utilise intuitivement ces principes et produit ainsi des doses visuelles de plaisirs sensoriels. »
Helmut Leder et Marcos Nadal, Université de Vienne – Extrait de l’étude « L’art des courbes dans le monde réel : un regard psychologique sur l’œuvre de Guillaume Bottazzi »