
Cet article explore la contribution de Guillaume Bottazzi à la neuroesthétique appliquée, discipline émergente à l’intersection de l’art et des neurosciences. En s’appuyant sur des collaborations scientifiques, l’artiste développe des œuvres destinées à produire des effets mesurables sur la santé mentale, notamment la réduction de l’anxiété et la stimulation de l’oxytocine. L’étude montre comment Bottazzi renouvelle le rapport entre création, perception et cognition, et propose un paradigme inédit : l’art comme outil de régulation émotionnelle et de cohésion sociale.